Vers une capacité de réaction renforcée de l’UE en cas de catastrophe: le rôle de la protection civile et de l’aide humanitaire
September 27, 2011 by Charles Goerens
Madame la Présidente, il n’y a pas trente-six façons d’améliorer la capacité de réaction de l’Union européenne en cas de catastrophes. Prévention, coordination, mutualisation sont les maîtres mots de la politique en la matière. La prévention, par une politique axée davantage sur le développement durable, la coordination et l’échange permanent d’informations pour éviter le double emploi, la mutualisation des moyens dont disposent les États membres de l’Union européenne, par souci d’efficacité, d’une part, et de bonne gestion des deniers publics, d’autre part.
Madame la Commissaire pourrait-elle m’indiquer les principaux obstacles qui s’opposeraient encore à l’intégration de ces principes dans la politique de l’Union européenne? Pourriez-vous, Madame Georgieva, nous faire part des principales difficultés que vous rencontrez encore au niveau des États membres pour ce qui est du respect de ces principes, ou de la réalisation des objectifs auxquels nous invite d’ailleurs le traité de Lisbonne?
Intervention de Charles Goerens au sujet du rapport d’Elisabetta Gardini “Vers une capacité de réaction renforcée de l’UE en cas de catastrophe: le rôle de la protection civile et de l’aide humanitaire”
Strasbourg, le 27.9.2011
Madame la Présidente, il n’y a pas trente-six façons d’améliorer la capacité de réaction de l’Union européenne en cas de catastrophes. Prévention, coordination, mutualisation sont les maîtres mots de la politique en la matière. La prévention, par une politique axée davantage sur le développement durable, la coordination et l’échange permanent d’informations pour éviter le double emploi, la mutualisation des moyens dont disposent les États membres de l’Union européenne, par souci d’efficacité, d’une part, et de bonne gestion des deniers publics, d’autre part.
Madame la Commissaire pourrait-elle m’indiquer les principaux obstacles qui s’opposeraient encore à l’intégration de ces principes dans la politique de l’Union européenne? Pourriez-vous, Madame Georgieva, nous faire part des principales difficultés que vous rencontrez encore au niveau des États membres pour ce qui est du respect de ces principes, ou de la réalisation des objectifs auxquels nous invite d’ailleurs le traité de Lisbonne?
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